Kaaris – TONNANO
Kaaris débarque avec TONNANO comme on claque une porte blindée : sans prévenir, sans négocier, sans discuter. Le morceau ressemble à une charge frontale où chaque kick agit comme un impact, chaque adlib comme un coup de crosse sonore.
Ici, Kaaris ne raconte pas : il martèle.
Le flow est carré comme une colonne de béton, la prod tape comme un marteau-piqueur, et l’ambiance générale rappelle la zone industrielle qu’on traverse la nuit — froide, métallique, dangereuse, mais vivante.
Avec TONNANO, il ravive ce qu’on appelait autrefois sa « science du chaos » :
- une voix qui gronde,
- une attitude qui ne s’excuse de rien,
- des phrases taillées pour résonner dans les parkings, les motos, les salles où ça s’échauffe.
Le morceau n’est pas une tentative de revenir : c’est un rappel que Kaaris n’était jamais parti. Juste en retrait, en train d’affûter la hache.
TONNANO, c’est le genre de son qui ne demande pas l’autorisation d’exister — il surgit, il secoue, il impose.
Bref : du pur Kaaris, version impact immédiat.


